samedi, mai 17

Paris t'es lourd quand tu l'veux.

Châtelet, 25 degrés, foule, pouffes opressantes, mal de tête, fraude.
Controleurs cachés, " mademoiselle, présentez moi votre titre de transport ".
Châtelet, 45 degrés, seule au monde, contrôleurs détestables, amende.
Carte d'identité, " versez nous 50 euros ", " rien sur vous ? alors 72, à envoyer".

Châtelet ou Falguière, Falguière ou Porte de Champerret, Porte de Champerret ou Glacière; ces mêmes endroits que l'on ne connait finalement pas, avec leurs " supers magasins de chaussures ", ces gens bien trop soignés, soignés à tel point qu'on en devient complètement désordonné.


Il existe deux Paris, celui que l'on voit au dernier étage de la tour Montparnasse, ou l'on a une soif de découverte, de connaitre toutes les petites rues, tous ses magasins incroyables, ou les plaques de rues sont mitiques, et l'autre, celui qui est caché par le trottoir.
Accessible par des escaliers, on se dirige alors dans le métro de Paris. Passé trois stations, un changement rythmé par les " clap clap " des beaux talons des belles demoiselles, puis quatre stations. Le métro est tellement opressant, que l'envie qui nous avait prise quinze minutes plus tôt de se ballader est remplacée par celle de s'acheter un jean.
Ne vous laissez pas envouter par les inconnus du métro; prenez à la rigueur un bouquin avec vous, cela devient alors peut être moins aliénant.

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Etudiante au Cepv,Vevey (Suisse)

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